Les élèves de seconde s'engagent pour le développement durable.
Les élèves de seconde créent des pubs !
Dans le cadre de l'enseignement d'exploration SES, nous avons travaillé sur l'influence de la publicité dans la consommation. Certains d'entre nous ont créé des pubs vidéo !
Une publicité réalisée parAnaïs Mandic 201 et Laurène Gres 202
Révolution en Ukraine !
Depuis novembre 2013, l’Ukraine connaît de nombreuses
tensions suite au refus de la conclusion d’un accord commercial avec son voisin
occidental, l’Union Européenne. Effectivement, le jeudi 21 novembre, le président Viktor Ianoukovytch décide, une semaine avant
la signature tant attendue par les Ukrainiens, que l’accord d’association et de
libre-échange avec les “Vingt-Huit” ne sera pas signé.
En effet la Russie, son voisin oriental, affolée à l’idée de
perdre l’Ukraine comme partisan économique majeur, la menace de
« sanctions commerciales ». Il est vrai que le quart des exportations
commerciales de l’Ukraine se fait vers la
Russie (et notamment les grands oléoducs pétroliers). Le président
Poutine annonce un soutien financier de 15 milliards de dollars.
Ainsi l’Ukraine se retrouve dans une situation où elle a
plus à perdre si elle tourne le dos à la Russie plutôt qu’à l’Union Européenne.
Par conséquence, le but premier de cette décision serait de
« relancer ses relations économiques avec la Russie et préparer le
marché intérieur à des relations d’égal à égal avec l’Union Européenne ».
Le président propose donc la création d’une commission tripartite avec Moscou
et l’UE (l’Union Européenne).
Cependant, cette décision engendre des manifestations de la
part des pro- européens. Les citoyens pensent que leurs vies s’amélioreraient
grandement et rapidement si leur pays adhérait à l’UE. Depuis le 21 novembre,
les révoltes se multiplient à Kiev.
C’est ainsi que le 9 décembre dernier, les manifestants
défilent sur la Place de l’Indépendance exigeant le départ du président
ukrainien et abattent la statue de Lénine, symbole de la
« domination russe » sur leur pays.
Le 9 décembre, on dénombre des centaines de milliers
d’opposants bloquant le siège du gouvernement, empêchant les ministres d’y
siéger.
Les forces de l’ordre décident alors d’intervenir de façon
conséquente pour tenter de calmer les opposants. Mais dans un excès de violence
rarement vue, les citoyens ont mis le feu à plusieurs véhicules, et lancé des
pierres sur les forces de l’ordre, ainsi que des fumigènes et des cocktails
Molotov. Les forces de l’ordre répondent avec du gaz lacrymogène, des grenades
assourdissantes, des tirs de balles en
caoutchouc et des violents coups de matraque sur les citoyens. La situation est
de plus en plus tendue et affolante.
Le 15 décembre, un candidat républicain des Etats- Unis John
McCain se rend en Ukraine et soutient les opposants, ainsi que l’UE en
suspendant des travaux.
Le monde
entier est consterné par le récit de Dmytro Boulatov, un militant d'opposition
de 35 ans enlevé le 22 janvier à Kiev et abandonné dans une forêt après avoir
été torturé, qui a ému et suscité des craintes de répression cachée.
Hospitalisé,
le militant a été mis sur la liste de personnes recherchées par la police pour
organisation de troubles massifs et semble risquer une arrestation. Plusieurs
militants ont déjà été passés à tabac ou enlevés, et l'un d'eux a été retrouvé dans une
forêt avec des marques de torture. Une ONG a recensé 33 cas de disparitions
d'opposants.
Le
président promulgue le 29 décembre des lois de répressions contre les manifestants : dans les faits, il donne 15
jours aux opposants pour libérer les lieux publics occupés en Ukraine, en
réponse à l'armée qui exigeait des mesures d'urgence après deux mois d'une
crise sans précédent. Les opposants ayant refusé de s’exécuter, l’armée a fait
appel au président pour prendre des mesures d’urgences « pour stabiliser
la situation dans le pays ». Car opposants et gouvernement s’accusent
mutuellement d’envenimer la situation : le pays est scindé en deux, d’où
un enlisement politique total.
Au début du mois de
février 2014, malgré la démission du premier ministre Mikola Azarov, la
situation économique et politique du pays reste en suspension.
De plus la communauté internationale commences à se préoccuper
sérieusement de la situation et accuse les forces de l’ordre de commettre des
répressions trop violentes et commence à envisager une intervention militaire.
MAZET Clotilde
RUAN Romain
La situation en Centrafrique
En 1965 , Jean Bedel Bokassa fait un coup d’état et renverse
le pouvoir . Il s’autoproclame
Empereur , Jean Bedel Bokassa 1er.
Il établit un régime autoritaire et se rapproche du Général Kadhafi .
Puis celui-ci est renversé par le général André Kolingba .
Mais le général est a son tour renversé par Bozize qui est appuyé par la France .
S’ensuit alors une guerre civile de 2004 a 2007 , qui s’achèvera
par la signature d’accords de paix .
Conjecturalement , les rebelles musulmans , les selekas
reprennent le pouvoir et mettent en place Michel
Djotodia à la présidence .
Le président François Hollande donne son feu vert pour
l’opération Sangaris le 5 décembre 2013. C’est 1600 militaires français envoyés en république de centre Afrique pour
instaurer un climat de paix .
Une de leur mission est de désarmer les ex selekas qui sont
accusés de violence sur la population .
Mais l’opération Sangaris connaît de nombreuses difficultés
liés au climat de guerre
civile . Avec d’un coté l’état illégitime de Djotodia et les ex-seleka
musulmans et de l’autre les opposants au pouvoirs et les milices chrétiennes
anti-balaka qui s’arment pour se défendre des ex-seleka. .
Joint par téléphone, un militaire du 8ème RPIMa de
Castres engagé en Centrafrique s’est confié depuis Bangui à «La Dépêche du Midi», sous le
sceau de l’anonymat. Selon lui, l’opération Sangaris, menée par la France pour rétablir la
sécurité dans ce pays, est «explosive.»
Cela
fait maintenant un mois que vous êtes engagé en Centrafrique. Comment cela se
passe-t-il?
Tout
d’abord, le décès d’Antoine (Le Quinio) et de Nicolas Vokaer, survenu lors
d’une intervention nous a beaucoup touchés même si ce risque, nous le savons,
et ils le savaient, fait partie de notre travail. Malheureusement, ils ne
rentreront pas avec nous. Sinon, la situation est compliquée, pour ne pas dire
explosive. Nous sommes là pour rétablir la sécurité mais nous voyons bien que
nous ne sommes pas assez nombreux pour faire face (NDLR : 1 600 soldats
français), pour désarmer les différents groupes armés et empêcher les
affrontements entre ces groupes, notamment entre les chrétiens et les
musulmans.
Le
désarmement des groupes armés sera-t -il bientôt terminé ?
Non !
Loin de là ! Pour l’instant on a vraiment ralenti, pour ne pas dire stoppé ce
travail. Ces groupes cachent leurs armes et se fondent dans la population. Ils
sortent pour piller et tuer la nuit. Et, lorsque ça se produit, nous ne sommes
pas là pour empêcher ces tueries. Les soldats de la Mission internationale de
soutien à la Centrafrique
(Misca) non plus. Et puis, on nous a dit qu’il valait mieux laisser des armes
pour ne pas que des communautés se retrouvent désarmées face à d’autres qui le
sont toujours. À Bangui, le calme est loin d’être rétabli. Tous les jours, il y
a des affrontements meurtriers au sein de la population et on sent que ça peut
à tout moment péter dans un quartier ou dans un autre, qu’il peut y avoir des
lynchages et même des massacres. La situation n’est pas vraiment sous contrôle
comme certains veulent le faire croire. D’ailleurs, au début de l’intervention,
nos chefs pensaient que l’on serait plus vite déployé dans le reste du pays.
Et, vous voyez, on est toujours là.
Pensez-vous
que pour l’heure votre mission soit une réussite ?
Pas
du tout. C’est la confusion la plus complète. On est là pour soi-disant
rétablir la stabilité, mais on a laissé au pouvoir le président Djotodia et sa
garde rapprochée et beaucoup ne le comprennent pas. Musulmans (Seleka) et
chrétiens (anti-Balaka) nous reprochent de ne pas les aider, d’être des
colonialistes. Ça devient une guerre de religion entre eux et on sent qu’une
escalade de la violence est très possible. Parfois nous sommes pris à partie,
insultés dans la rue. C’est vraiment compliqué pour nous et je ne sais pas
comment les choses vont pouvoir s’améliorer dans ces conditions.
Les
Banguissois sont-ils vraiment toujours nombreux à fuir la ville ?
Chaque
jour, il y a davantage de réfugiés autour de l’aéroport, une zone que nous
avons de plus en plus de mal à sécuriser. Entre cet endroit, l’ambassade et
certains quartiers, nous ne pouvons pas être partout. C’est décevant mais c’est
comme ça. On est nombreux, parmi les militaires, à espérer des renforts pour mener
une action bien réelle et comprise par la population. Là, on sent comme un
flottement et ce n’est pas bon pour notre image, celle de la France.
Recueilli par Guillaume Atchouel
Antony Souliers , Hugo Latapie .
L'espérance de vie en France a diminué en 2012
Alors que la France a une espérance de vie qui n'a cessé d'augmenter depuis une vingtaine d'années, notamment pour les femmes, le pays a été marqué en 2012 par une baisse de l'espérance de vie à la naissance.
En effet,
alors qu'une femme devrait vivre en moyenne 85 ans en 2011, elle ne vivrait
plus que 84,8 ans en 2012. Les hommes, quant à eux, ne verraient pas leur
espérance de vie diminuée puisqu'ils vivront toujours 78,4 ans.
Cette baisse
de l’espérance de vie peut être attribuée à plusieurs facteurs tels que le
climat avec la rigueur de l'hiver 2012, mais les experts portent
particulièrement leur attention sur le tabagisme ou bien encore l'obésité.
Le point a
souligné dans cette diminution de l'espérance de vie est que nous vivons
également en moins bonne santé. En effet, l'EVSI (espérance de vie sans
incapacité) n'a cessé de diminuer au fil des années. Une femme peut ainsi
espérer vivre en bonne santé jusqu'à l'âge de 63,5 ans en 2010 contre 64,6 ans
en 2008. Les hommes vivent également moins longtemps en bonne santé avec 61,9
ans en 2010 contre 62,7 en 2008.
Malgré la
science et la médecine qui n'ont cessé d'améliorer notre espérance de vie, il
faut désormais faire face à de nombreuses maladies graves. On assiste ainsi à
une augmentation de 37,8% par an des affections de longue durée. L'ANSES
(Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement
et du travail) a également recensé 365 000 nouveaux cas de cancers en France en
2011, dont 90% à 95% seraient causés par l’environnement.
A. Rodriguez, S. Delbar, E. Brichet
Stromae
Stromae (« maestro »
en verlan), de son vrai nom Paul Van Haver, né le 12 mars 1985
à Bruxelles, est un auteur compositeur interprète et producteur belge d’origine
rwandaise. Il se fait connaître en 2009 avec la chanson Alors on danse
extraite de l’album Cheese. En 2013, il connaît le succès critique et
commercial avec les chansons Papaoutai, Formidable et Tous les mêmes dans
son deuxième album Racine carrée.
Stromae
a reçu de nombreuses récompenses, parmi celles-ci :
2009 : NRJ Music Awards
« révélation musicale belge francophone 2009 »
2010 : Music Industry Awards « hit de l'année »
pour Alors on danse
2013 : Festival international du film francophone de
Namur « meilleur clip » pour Papaoutai
2013 :
Prix Rolf Marbot de la chanson de l'année pour Formidable
2013 : MTV Europe Music Awards « meilleur artiste
belge »
2013 : NRJ Music Awards 2014 « artiste
masculin francophone » et « chanson francophone » avec Formidable
Stromae aborde des thèmes graves et contemporains à travers
les chansons de son nouvel album Racine carrée
- Carmen la dépendance aux réseaux sociaux dont Twitter et la société de consommation
- Quand c’est ? les fabricants de cigarettes et le cancer
- Tous les mêmes, Formidable les problèmes de couple
- Humain à l'eau les rapports Nord-Sud
- Ta fête et Sommeil les excès
- Moules frites le VIH
- Papaoutai évoque un père absent
- Bâtard dénonce le manque de position et les divisions de la société en évoquant le racisme, l'homophobie ou le sexisme
- Carmen la dépendance aux réseaux sociaux dont Twitter et la société de consommation
- Quand c’est ? les fabricants de cigarettes et le cancer
- Tous les mêmes, Formidable les problèmes de couple
- Humain à l'eau les rapports Nord-Sud
- Ta fête et Sommeil les excès
- Moules frites le VIH
- Papaoutai évoque un père absent
- Bâtard dénonce le manque de position et les divisions de la société en évoquant le racisme, l'homophobie ou le sexisme
Ecoutez l’album Racine carrée en entier sur :
Jessica Dubessy, Charlotte Feuillassier
BFMTV créé la polémique
Lundi
dernier , le 20 Janvier 2014, lors de sa matinale ; BFMTV décide de
diffuser un duplex entre le dernier survivant du massacre d’Oradour-sur-Glane
et le dernier Waffen SS vivant.
Le 10 Juin
1944, 200 soldats de la Waffen SS en perdition reçoivent l’ordre d’assassiner
la totalité de la population du village, la dirigeant dans l’église pour
ensuite la massacrer dans un feu sanglant.
Depuis plus de 60 ans, de multiples procès
ont lieu à l’encontre des soldats SS ayant perpétués ce massacre.
Aujourd’hui,
70 ans après le massacre, le dernier des 200 SS, Werner C. va bientôt
comparaître face à la justice pour répondre de ses actes.
Cette
interview décalée, jouant avec le malheur des victimes, absolument grotesque et
non nécessaire pour décrire l’histoire de ce drame et plus récemment pour
évoquer le jugement de monsieur Werner n’a pas lieu d’être .
Dans cette
rencontre en duplex , la chaîne d’information , ayant pour seul but de faire de
l’audimat , ravive la colère et le désarroi des deux hommes pour qui cette
aventure reste un évènement toujours terrible. Via la création d’un conflit ,
la chaîne profite de l’évènement et créé une polémique inutile alors que
l’apaisement entre la France et l’Allemagne s’est effectuée dans le temps.
Par
ailleurs cette chaîne a prévu d’organiser une rencontre sur le plateau ( pas en duplex) entre les deux hommes pour
essayer une fois de plus d’attiser la haine et recréer chez ces personnes
âgées la douleur d’autrefois plutôt qu’au contraire essayer d’instaurer une
entente entre ces individus et les laisser vivre le temps qui leur reste
paisiblement .
Affaire à
suivre …
Sala Robin et Castillo
Rubens . TE2
La divergence des médias sur le conflit syrien
Russia Today est une chaîne d’information qui a été lancée en 2005 par l’agence
gouvernementale Novosti . Elle diffuse ses émissions dans le monde entier en
anglais, en espagnol et en arabe .
La
Syrie est l’un des sujets les plus traitées par la chaîne
d’information. Cependant nous ne pouvons pas affirmer que ce media est objectif
dans ses propos sur le conflits syriens. En effet la Syrie est très proche du
régime russe en terme de commerce et de diplomatie .
Nous pouvons
constater par ailleurs que Russia today est le seul media occidental a avoir un
journaliste autorisé à rester en permanence à
Damas .
La version que
nous donne le media russe est que le régime de Al Hassad subit des mouvements
insurrectionnels de type terroristes ( qui serait une alliance de différentes
cellules terroristes ) et non une révolution de la population. Ces terroristes
seraient aidés par L’Arabie saoudite, le Qatar, les Etats Unis et l’OTAN pour des raisons économiques et diplomatiques
. En aucun cas la répression est évoquée , car les rebelles sont considérés
comme des criminels .
Par conséquent la Russie évoque le conflit
syrien comme une recherche de démocratie de la part du gouvernement qui
subirait des attaques de mouvements insurrectionnels terroristes qui
désireraient renverser le pouvoir dit
démocratique .
Lien média Russe :
http://www.prorussia.tv/Journal-hebdomadaire-de-Voix-de-la-Russie-6-mai-2013_v279.html
D’après les médias français et plus
généralement les médias occidentaux, cette révolution syrienne est légitime car
elle est due à l’oppression d’un régime
dictatorial . Les USA et L’UE s’accordent sur le fait qu’il faut
intervenir , ce qui a déjà était fait sur la scène diplomatique internationale.
Mais une intervention militaire sous un mandat de l’ONU est sujette à débat à
cause du soutien de la Chine
et de la Russie
. Par ailleurs l’identité des rebelles
syriens reste encore très floue .On soupçonne l’intervention de cellules
terroristes telles que Al Quaida . De plus la volonté de certains pays de
fournir en armes les rebelles pourrait être néfaste car en réalité il est
probable que cela approvisionne les
cellules terroristes du moyen orient comme cela a été le cas lors du conflit
libyen.
Pour finir, les médias français nous
donnent l’impression que l’Etat syrien serait responsable d'attaques contre la population, tandis
que selon les médias russes, le point de vue est bien différent, ce serait des
groupes terroristes se faisant passer pour la population qui voudraient
renverser le pouvoir de l’état d’Al Hassad.
Lien média occidental :
http://videos.tf1.fr/jt-20h/2012/syrie-il-y-a-urgence-a-faire-cesser-le-conflit-6930246.html
Sources :
http://www.marianne.net/La-crise-syrienne-vue-de-Russie-1-2_a220844.html
Par Latapie Hugo , Sala Robin , Antony
Souliers et Rubens Castillo .
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